La gå, eit siste ord om dette i denne omgangen...
Øistein Haugsten Holen skreiv:
>Garvik beskylder videre bombemotstanderne for å ikke være
>engasjert i hans egen favoritt-konflikt, Tsjetsjenia, uten å ha den
>fjerneste anelse om hvorvidt folk er engasjert i dette
>eller ikke. Dessuten slår han seg selv og andre bombetilhengere
>i trynet med dette argumentet - det er jo heller ingenting som tyder
>på at folk som støttet bombingen i vår utviser noe som helst
>spesielt engasjement ovenfor krigen i Tsjetsjenia.
Eg kan ikkje svare for andre "bombetilhengere" (ein latterleg antitese). For
min eigen del har eg engasjert meg ein god del i dette arbeidet her eg bur.
Me har drive med underskriftskampanje, innsamlingsaksjon, og innsamling av
matvarer og medisinar for MSF (Médecins Sans Frontières). Det humanitære
arbeidet i samband med krigen i Tsjetsjenia er svært vanskeleg, for russiske
styresmakter har ikkje særleg høge tankar om motstandarane sine - dei som
ikkje vil føye seg under det storrussiske hegemoniet. Den russiske hæren
gjer alt dei kan for å sabotere den humanitære hjelpa.
Underskriftskampanja som MSF sette i gang på slutten av fjoråret, samla
18000 underskrifter (sjå lenger nede).
>I en diskusjon på forumet i høst klagde Garvik over at det ikke var
>produsert noe opprop mot krigen i Tsjetsjenia i Norge.
>"Kva ventar de på?" skrev han dengang, med klar adresse
>til antikrigsbevegelsen.
>
>Jeg oppfordret ham da gjentatte ganger til å forfatte et opprop selv,
>istedet for å bare klage over andres manglende engasjement:
>
>Dette er over to måneder siden... hva venter du på, Garvik?
Eg har aldri venta. Kvifor skulle eg freista å få "antikrigsbevegelsen" ut
av bakevja? Forfatte eit opprop for ei rørsle eg ikkje har noko til felles
med? Som eg ser på som ein motstandar?
Aldri i livet!
Oddmund Garvik
PS: Eg har diverre ikkje tid til å omsetje desse aktualitetsbreva frå MSF:
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L'ACTUALITE DE NOS MISSIONS
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Tchétchénie
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* Pétition - Le 5 janvier 2000, plus de 10 650 personnes ont signé
la pétition lancée le 10 décembre pour demander l'arrêt des massacres en
Tchétchénie. Nous vous informerons rapidement des suites concrètes
données à cette pétition. Vous pouvez continuer à la faire circuler
autour de vous.
http://www.paris.msf.org/msf/forms/dons.nsf/Appeltchetchenie?OpenForm
* Un dossier « Tchétchénie » concernant la situation des réfugiés
tchétchènes en Géorgie a été rendu public et publié en avant-première
sur le site le 17 décembre dernier. Ce dossier présente de nombreux
témoignages recueillis par Médecins Sans Frontières auprès de ces
réfugiés, dans le nord-est de la Géorgie.
- Extrait d'un témoignage de Saïdan, 62 ans. « Ce qui se produit en
ce moment en Tchétchénie, ce n'est pas une guerre. Une guerre, c'est
l'affrontement entre deux armées. Or, ce n'est pas ce qui se passe en
Tchétchénie aujourd'hui. Ce que nous subissons, c'est l'attaque d'une
armée contre la population civile. Nous n'avons ni les moyens de nous
défendre, ni la possibilité de nous protéger. Les forces russes
utilisent contre nous tous les armements les plus sophistiqués, les plus
destructeurs. Et elles nous font la guerre à distance. Pour nous, c'est
une guerre qui n'a pas de visage... »
- MSF demandait, le 17 décembre, la réouverture immédiate de la
frontière géorgienne pour les civils tchétchènes privés de toute
possibilité de fuite.
- Le 23 décembre, MSF réitére sa demande. « Compte tenu de la
situation désespérée des populations civiles du sud de la Tchétchénie,
soumises aux bombardements massifs et indiscriminés des forces russes,
le bouclage de la frontière géorgienne est intolérable et s'apparente à
un déni de protection », dénonce Denis Gouzerh, chef de la mission de
Médecins Sans Frontières.
Toutes ces informations sont à lire dans le dossier spécial
Tchétchénie « A la Une » du site http://www.paris.msf.org
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Bonjour,
**Attention: le message concernant l'appel à signature Tchétchénie de
Médecins Sans Frontières que vous avez peut être déjà reçu comportait
une erreur dans le paragraphe 6. Vous trouverez, ci-dessous,
l'intégralité du message corrigé. Avec toutes nos excuses.**
Comme vous, près de 18 000 personnes ont signé la pétition demandant
l'arrêt des massacres en Tchétchénie, dont plus de 12 000 internautes !
Nous vous remercions de votre mobilisation et de votre soutien sur cette
opération.
L'ensemble de ces signatures a été remis le 12 janvier au Président de
la République et au Premier Ministre.
A cette occasion, le Dr Philippe Biberson, président de MSF France, a
renouvelé, au nom de tous les MSF, son sentiment de révolte et son
indignation quant au sort des populations civiles de Tchétchénie.
Il a réitéré sa demande d'intervention du Président de la République et
du Premier Ministre auprès des autorités russes pour arrêter les
bombardements indiscriminés, permettre aux populations qui le souhaitent
de quitter la Tchétchénie et, pour les réfugiés, d'avoir accès à des
secours.
Il a enfin rappelé que, depuis début décembre, les conditions de vie et
de survie des Tchétchènes se sont encore aggravées avec la fermeture de
la frontière géorgienne, dernière voie de sortie pour les populations
civiles victimes des bombardements. Médecins Sans Frontières s'est
prononcé publiquement contre cette fermeture.
Nous espérons que cette pétition permettra de faire évoluer rapidement
la situation de ces populations.
Vous pouvez rester informé sur la suite de cette opération, mais
également sur toutes les interventions et prises de position de Médecins
Sans Frontières,
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http://www.medecinssansfrontieres.com/msf/web.nsf/html/4DZNUF?OpenDocument
En espérant vous compter bientôt parmi nos lecteurs,
Très cordialement,
Dominique Retoux - Webmaster
Médecins Sans Frontières
http://www.medecinssansfrontieres.com
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